Depuis plus d’un siècle, les gens dans le monde entier marquent le 8 mars comme une journée spéciale pour les femmes, une occasion où les femmes du monde entier sont reconnues pour leurs réalisations, sans égard aux divisions, qu’elles soient nationales, ethniques, linguistiques, culturelles, économiques ou politiques.
C’est une opportunité de faire le point sur les luttes et les réalisations passées, et surtout, de préparer l’avenir et les chances qui attendent les futures générations de femmes. Comme pour la femme tunisienne qui a fait preuve de compétence, d’ambition et d’un travail dur, ouvrière, femme de ménage, maîtresse, médecin, professeur, pilote, juge… peu importe le niveau ou le domaine, la femme tunisienne a pu arraché sa place non seulement dans la société mais aussi au sein du processus économique, privilégiée par des droits et des acquis grâce à notre combattant suprême Habib Bourguiba, féministe par excellence et son successeur l’ex président Ben Ali.
Dans certains pays, la Journée internationale de la femme est une célébration, même c’est un jour férié national dans de nombreux, comme en Russie où les ventes de fleurs doublent pendant les trois ou quatre jours autour du 8 mars.
En Italie, la Journée internationale de la femme, ou la Festa della Donna, est célébrée par le don de fleurs de mimosa. L’origine de cette tradition n’est pas claire, mais on pense qu’elle a commencé à Rome après la Seconde Guerre mondiale.
Aux États-Unis, le mois de mars est le Mois de l’histoire des femmes. Une proclamation présidentielle publiée chaque année honore les réalisations des femmes américaines.
Heureusement, au 21ème siècle la femme est capable du tout, même si dans certains pays elle vit encore dans l’obscurantisme, mais ça n’empêche pas de voir qu’ à travers sa réussite, elle incarne l’espoir, la compétence et l’exemplarité.
